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Publié le : 25/11/2024 12:31:16
L'hiver se présente, les températures baissent, les microbes arrivent, nous vous expliquons comment renforcer les 3 organes clés de notre système immunitaire.
L'objectif de tout système immunitaire est de protéger le soi du non-soi. Dès 13 semaines, l'embryon possède des cellules immunitaires dendritiques. En cette période pré-hivernale, il est intéressant de connaître notre système immunitaire et les solutions naturelles afin de mieux nous protéger.
La moelle osseuse est le site de production premier de notre immunité. Elle est nommée « organe immunitaire génératif ». Le système immunitaire adaptatif a été créé il y a 500 millions d’années ; c’est un site d’amorçage des réponses immunitaires.
Les lymphocytes B naissent dans la moelle osseuse. Ils sont nommés ainsi avec la lettre B pour (Bone marrow), traduction de « moelle osseuse ».
Cet organe est une niche de survie pour les cellules mémoire de l’immunité : lymphocytes B, cellules souches hématopoïétiques (CSH – cellules sanguines), cellules souches mésenchymateuses (CSM - ostéogenèse), cellules souches embryonnaires, cellules souches multipotentes.
La moelle osseuse est un véritable réservoir de cellules à fort pouvoir de régénération immunitaire, osseux, sanguin, neuronal et vasculaire.
Pour renforcer l’activité de la moelle osseuse, le reishi, champignon chinois, représente le principe actif validé par des études scientifiques et l’utilisation ancestrale.
Le thymus est un organe majeur de l’immunité. Situé au centre de la poitrine, il stimule la croissance des anticorps. Le thymus représente un lieu de formation et d’acquisition de nouvelles compétences pour les lymphocytes B (Bone marrow), issus de la moelle osseuse, afin qu’ils deviennent des lymphocytes T (pour Thymus). Les lymphocytes B migrent dans le thymus à la dixième semaine.
Le thymus représente l’interface entre le corps et l'esprit. Il intercepte et prend en charge les événements stressants afin d’éviter leurs empreintes sur le corps, grâce notamment à l’ocytocine.
Celle-ci est la molécule dite de « l’amour et du lien affectif ». L’ocytocine est fabriquée par la mère lors de l’accouchement. Elle imprègne le nouveau-né tant au niveau immunitaire qu’au niveau émotionnel.
Le thymus est l’organe qui régule les fonctionnalités des lymphocytes afin qu’ils n’agressent pas les tissus de l’organisme. Le thymus est véritablement l’organe qui permet aux lymphocytes B de devenir des lymphocytes T matures et tolérants au soi (tissus de l’organisme) et réactifs au non-soi (virus, bactéries, champignons).
La vigueur de notre système immunitaire dépend d’un thymus en pleine forme. Un concentré de propolis est le principe actif naturel le plus à même de renforcer le thymus. Vous le trouverez dans Défenses Actives.
Institut de recherche GIGA Immunité, Immunité et infection. Université de Liège. 2021
L’alimentation industrialisée, dévitalisée et carencée en micronutriments, les sols carencés en vitamines, sels minéraux, oligo-éléments, la pollution et le stress agressent et fragilisent la barrière intestinale, ce qui conduit à la porosité de la membrane intestinale.
L’intestin pèse 1 à 2 kg et contient 10 puissance 14 de bactéries, soit environ 3 000 espèces.
70 % à 80 % du système immunitaire est présent dans l’intestin. C’est le plus grand organe immunitaire du corps.
La porosité de l’intestin, si courante de nos jours, conduit à la translocation bactérienne, c’est-à-dire l’entrée de pathogènes (virus, bactéries, champignons) depuis l’intestin vers l’extérieur, ou inversement. Cela va déclencher une réaction immunitaire qui entraînera une production importante de radicaux libres, tant en intensité qu’en durée. Cela va occasionner beaucoup de dommages et d’inflammation. C’est comparable à un véritable champ de bataille entre deux adversaires.
Cette situation peut s’installer dans la durée si les pathogènes disposent de carburant et de facteurs de croissance, comme le fer de l’alimentation ou de l’environnement. En effet, les virus, bactéries et champignons dépendent de ce métal pour leur réplication, prolifération et survie.
De nombreuses études, telles que « Le rôle protecteur in vitro de la lactoferrine sur la barrière épithéliale intestinale » ou « La lutte pour le fer : un métal à l’interface hôte-pathogène », montrent que le fer représente un enjeu majeur entre le système immunitaire et la prolifération des bactéries.
Afin de protéger l’intestin et de renforcer simultanément son système immunitaire, la lactoferrine représente un allié de choix.
La lactoferrine est une protéine que l'on trouve dans le colostrum. Celui-ci représente chez les mammifères le premier lait lors de l’accouchement. Le colostrum est un véritable transfert d'immunité de la mère à son petit. La lactoferrine s'inscrit dans un mécanisme de défense primitif. Elle se retrouve à tous les orifices du corps où elle exerce une activité de surveillance face aux intrus éventuels.
La lactoferrine est un composant que l'on retrouve dans les sécrétions naturelles : larmes, salive, muqueuses nasales et bronchiques, à des fins de protection.
La lactoferrine représente une barrière naturelle contre les agressions des micro-organismes.
La lactoferrine exerce son action inhibitrice sur le développement des micro-organismes par sa capacité à saisir, capturer et déposséder l’utilisation du fer. En effet, celui-ci est un véritable facteur de croissance dont se servent les micro-organismes pour leur croissance.
La lactoferrine séquestre le fer, métal aux fonctions corrosives et pro-oxydantes, et neutralise notamment son action par une interaction électrostatique.
Dans nos sociétés industrialisées où le stress, la pollution, l'alimentation dévitalisée et carencée fragilisent notre immunité, la prise des principes actifs naturels et efficaces permet de nourrir, renforcer et rétablir en profondeur nos défenses naturelles.