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PFAS : Comment détoxifier votre corps !

Publié le : 02/09/2024 15:53:47

PFAS : Comment détoxifier votre corps !

Les PFAS qu’est-ce c’est ?

Sous cet acronyme quelque peu barbare, on retrouve des molécules chimiques créées par l’Homme – en effet, elles n’existent pas dans la nature : il s’agit de tensioactifs fluorés per et poly fluoroalkylés et considérés comme des pollutions à l’échelle mondiale. A ce jour, plus de 12 000 types de PFAS ont été recensés. Les PFAS ont été ajoutés à l’annexe B de la convention de Stockholm sur les polluants organiques persistants en mai 2009.

 

On parle même de polluants éternels car ce sont des molécules qui ne se décomposent pas après avoir été créées. Leurs structures moléculaires riches en fluor leurs procures de forte stabilité thermique et une très grande résistance à la dégradation lors de leurs expositions dans l’environnement.

Elles sont dangereuses pour notre santé. Leurs impacts sur la faune, l’environnement et les humains sont considérables. Leurs toxicités, en particulier celle des PFAS dit à chaînes longues, est d’ailleurs bien documentée.

 

Les voies d’exposition sont :

  • 89 % par voie orale
  • 7 % voie cutanée
  • 4 % inhalation

 

DELAI D’ELIMINATION

  • 72 à 81 heures PFBA
  • 2,1 à 8,5 ans PFOA
  • 3,1 à 7,4 ans PFOS

 

Où retrouve-t-on des PFAS ?

Partout. Et c’est bien cela le problème.

Développés dans les années 50, les PFAS possèdent des propriétés physiques et chimiques toutes particulières qui ont trouvé leurs applications dans toutes les branches de l’industrie.

Ainsi, on retrouve des PFAS dans des produits de la vie courante aussi divers que les ustensiles de cuisine (poêles de cuisson revêtues de Teflon), emballages alimentaires de restauration rapides, certains textiles, les cordes de guitare, le gazon synthétique, la mousse anti-incendie, jusqu’aux cordes d’escalade et au fart des skis.

  

Etude réalisée sur 400 échantillons de restauration rapide, (papiers en contact avec les aliments, emballages en cartons et récipients à boisson)

  • 46 % des papiers en contact avec les aliments contenaient des PFAS
  • 20 % des cartons en contact avec les aliments contenaient des PFAS (> 16 nmol/cm2).

Département californien de contrôle des substances toxiques. Sacramento. 2017

 

Les PFAS sont présents à travers toute la chaine alimentaire. Les viandes et les légumes sont particulièrement intoxiqués.

Les aliments les plus intoxiqués et riches en PFAS sont ceux riches en protéines viandes et produits carnés, gibiers abats et tout particulièrement le foie, poissons et fruits de mer. Le SPFO est le plus présent (31%). Les animaux d’élevage sont moins intoxiqués.

 

  • abats de poisson 68 %
  • abats comestibles gibier foie 64 %
  • viandes 22 %
  • mollusques 20 %
  • crustacés 17 %
  • chair de poisson 9,7 %

 

La contamination se trouve chez les gibiers particulièrement le foie de porc sauvage SPFO 216 PFNA 10 mcg/kg,   APFO 7,1mcg/kg   PFDA 6,1 mcg/kg PFDoDA 3,7 mcg/kg

 

Les poissons contiennent respectivement des APFO et SPFO 15 et 47 mcg/kg. Les poissons d’élevage sont moins contaminés que les poissons sauvages. Certains légumes et nos eaux de boisson (minérales ou du robinet) sont aussi contaminés, tout comme les rivières et les océans.

 

Pourquoi les PFAS sont-ils dangereux pour la santé ?

De nombreuses études scientifiques montrent que les PFAS sont néfastes pour notre santé.

Ils s’accumulent dans le cerveau, foie, reins, notre thyroïde, notre sang et ils peuvent même être transmis aux nouveau-nés par l’allaitement.

 

ETUDES SCIENTIFIQUES SUR LES ANIMAUX : LES RESULTATS SONT-ILS REPRODUCTIBLES SUR L’HOMME ?

 

Les premiers effets notés chez les animaux en laboratoire sont la toxicité sur le foie, la croissance de la progéniture, baisse de l’immunité.

 

Il existe une grande différence et de grandes interrogations concernant les études réalisées sur les animaux et celles réalisées sur l’homme.

L’élimination chez les humains est d’environ 4 ans alors qu’elle est de quelques heures ou plusieurs jours pour les animaux.

 

EFFETS SUR L’ENFANT

De nombreuses études montrent une incidence des PFAS sur le développement de l’enfant et une diminution du poids à la naissance.

Une étude réalisée sur 3076 garçons et 2931 filles âgées de 8 à 18 ans vivant à proximité d’une usine chimique, montre que les PFAS perturbent la capacité, pour les filles et les garçons, à atteindre la puberté.

Département de recherches en santé sociale et environnementale. Londres. 2011

 

EFFETS CHEZ L’ADULTE

  • sur le système immunitaire : asthme, baisse des anticorps
  • sur le système endocrinien : troubles de la thyroïde
  • sur le système cardiovasculaire hypertension / prééclampsie
  • sur le système hépatique : augmentation des enzymes

 

 

LE FLUOR : COMPOSANT TOXIQUE DES PFAS

 

Dès 1943, il est mentionné dans des grandes revues médicales comme le JAMA (Journal of american medical of medecine), de la nocivité du fluorure comme poison protoplasmique qui déstabilise la perméabilité de la membrane de toutes nos cellules.

en 1944, journal of the american dental association annonçait la toxicité du fluor à un dosage aussi faible que 1,2 ppm (part par million) sur les troubles du comportement.

Chez l’enfant, 50 % du fluor ingéré se dépose dans les os, alors qu’il n’est que de 10 % chez l’adulte.

La moitié du fluor ingéré reste dans le corps pour toute une vie.

Chez l’enfant, la carie dentaire est clairement reliée au revenu et à la qualité de la nourriture, pas à la fluorisation.

99 % du fluor ajouté à l’eau finira dans l’environnement.

Dans l’agrochimie, la moitié des insecticides herbicides fongicides contiennent un ou plusieurs atomes de fluor.

 

Les peuples comme les peuples aborigènes, qui vivent loin de la civilisation et de la pollution doivent contenir au maximum 200 parts de fluor par million ou plus vraisemblablement moins.

Pour comparaison, un habitant d’une grande ville contient entre 2500 et 5000 parts par million de fluor dans les os.

Le dentifrice contient 1000 parts de fluor par million.

 

COMMENT SE PROTEGER DES PFAS ?

Avant toute chose, il est important de réduire les PFAS que nous pouvons ingérer directement de ce fait, nous pouvons dans un premier temps filtrer l’eau que nous buvons.

Plusieurs systèmes existent : gourde filtrante, installer un osmoseur inversé à notre domicile ou traiter notre eau de boisson avec du charbon.

Je vous recommande aussi de troquer vos poêles en Teflon pour des poêles en céramique.

 

5 compléments alimentaires peuvent aussi nous aider :

1. Le DESMODIUM

Les études montrent que le foie représente un organe-cible et réceptionne une grande quantité de toxiques divers.

En priorité, il va falloir soutenir et aider le foie. Pour ceci, une plante majeure va grandement nous aider : c’est le desmodium. Plante issue de la pharmacopée traditionnelle du Ghana et de la forêt amazonienne du Pérou, le desmodium est un protecteur des fonctions hépatiques. 

Son activité et son efficacité lui permettent d’être un produit naturel de référence pour soutenir et renforcer notre foie. Celui-ci est l’organe qui va réceptionner les molécules toxiques et tenter de les décomposer. Il est fondamental de renforcer l’activité et la vigueur de notre foie qui est sollicité en permanence. Le desmodium représente la quintessence des plantes destinées au soutien et au renforcement des différentes séquences enzymatiques qui permettent au foie de saisir, neutraliser, décomposer et éliminer les différents toxiques et toxines.

 

2. LE CHRYSANTHELLUM : Pour la vésicule biliaire et l’intestin 

Originaire d’Amérique du sud et d’Afrique, le chrysanthellum americanum – que l’on appelle également la camomille d’or, est une plante qui protège, renforce et détoxifie les cellules du foie et de la vésicule biliaire.

Le chrysanthellum, riche en saponines et flavonoïdes exerce une fonction toute particulière lors d’une séquence de détoxification. Il permet une évacuation et une élimination accélérée des toxiques qui pourraient stagner dans le foie par une action sélective sur un organe trop méconnu : la vésicule biliaire. Plusieurs études scientifiques ont montré que le chrysanthellum agit également sur le syndrome du côlon irritable ralentissant l’élimination des toxiques et toxines chimiques et métaboliques.

Celui-ci est une constellation d’intervenants et d’interactions associant le psychisme et le physique. Les stress physiologiques perturbent fortement l’axe cerveau-intestin ainsi que le microbiote intestinal. Il se produit un processus inflammatoire déclenché par une dérégulation du système immunitaire de la muqueuse intestinale et une dysbiose. Le système digestif est surchargé ralentissant l’élimination des toxiques et toxines.

Le chrysanthellum contient de l’acide caféoylquinique, principe actif végétal, qui protège les cellules du stress biotique ou abiotique. Il régule à la baisse l’agression des cellules cérébrales et l’excitoxicité déclenché par des composés chimiques toxiques.

Caffeoylquinic acids : biochemistry, biosynthesis, occurrence, analytical challenges and bioactivity The plant journal. 2021

 

3. LA CURCUMINE

Une étude scientifique réalisée en 2013 a montré que la curcumine, polyphénol extrait du curcuma, régule et protège les composants premiers de la cellule lorsque celle-ci est agressée par des polluants environnementaux. La curcumine protège et préserve la viabilité des cellules.

L’exposition et l’agression régulière des cellules de l’organisme à des toxiques effectue un véritable travail de sape et entraine une usure des tissus et une dégradation dans le fonctionnement des cellules à travers tout l’organisme. Ce phénomène se nomme l’inflammation.

The protective rôle of curcumin on perfluorooctane sulfonate induced genotoxicity. Departement of Biology. Mersin University. 2013

 

La curcumine permet à l’organisme, une prise en charge d’une grande efficacité de puissants polluants environnementaux comme le cadmium, l’arsenic, le nickel. Cette action protectrice est possible par la triple fonction de la curcumine :

- fonction antioxydante

- fonction d’activation du maitre régulateur de la signalisation antioxydante : le Nfr2

- fonction chélatrice

On pourra donc prendre des compléments alimentaires à base de curcumine. Attention, c’est différent du curcuma que vous trouvez en épicerie : la curcumine est le principe actif contenu dans le curcuma.

Veillez à prendre des compléments alimentaires suffisamment dosés en curcumine et vérifiez leur concentration qui doit être autour de 90 % de curcumine au minimum.

Veillez également à disposer d’un produit associant Curcumine et pipérine (extrait du poivre noir) afin d’augmenter l’assimilation de la curcumine. Les études montrent que la pipérine augmente très significativement l’assimilation de curcumine dans les cellules.

College de pharmacie et centre de recherche médicale. Université nationale de chungbuck. 2023

Laboratoire clé de la toxicologie envirronementale de la province d’Anhui. Toxics. 2023

Influence of piperine on the pharmacokinetics of curcumin in animals and human volunteers.

Planta Med. 1998

 

4. L’ACETYL CYSTEINE

L’Acétyl-Cystéine est un acide aminé soufré et un puissant détoxifiant intracellulaire. Il est important de disposer d’un antioxydant afin de protéger les cellules de l’organisme de l’agression quotidienne des toxiques issus de l’alimentation et de la pollution environnementale. 

Lorsque l’organisme est agressé et que la situation perdure dans le temps, le corps met en place différents intervenants comme les cytokines à l’action pro inflammatoires, afin de neutraliser les agents perturbateurs. Malheureusement, l’action et la virulence de ces dernières excèdent souvent les capacités d’adaptation et les ressources de l’organisme.

Les cytokines IL-1, (interleukine -1), l’ IL-6 (Interleukine-6,, TNF (Facteur de nécrose tumorale), sur utilisent les ressources de l’organisme dans une tentative de résolution de la situation. Il est important de disposer d’un antioxydant apte à réguler la juste réponse de l’organisme face à une agression répétée dans le temps et qui affaiblit les ressources de l’organisme.

PROTECTION DE LA MITOCHONDRIE ET DE LA RESPIRATION CELLULAIRE.

Les différents et nombreux toxiques auxquels l’individu et le citoyen est exposé en permanence asphyxient chacune de nos cellules et compromettent la respiration de la cellule et sa survie.

L’acetyl cystéine régule la protection de la zone de chacune de nos cellules assurant la fabrication de son énergie, l’oxygénation et la respiration, à savoir la mitochondrie.

Les toxiques environnementaux et métaboliques compromettent la fabrication des composants énergétiques premiers à partir des aliments ainsi que la respiration cellulaire. Les toxiques asphyxient littéralement le bon fonctionnement de la cellule et provoquent l’accumulation de nombreux radicaux libres nocifs et compromettent la survie de la cellule.

Département de biochimie. Université d’Ibadan. Environ Toxicol Pharmacol 2021

 

5. CONCENTRE DE MYRTILLES RICHES EN ANTHOCYANES

Pour se protéger des dommages que peuvent causer les différentes agressions, toxiques au niveau cerveau : le concentré de myrtilles. En effet, cela améliore significativement les dommages locomoteurs.

Le concentré de myrtilles riche en anthocyanes, principes actifs et antioxydants puissants possèdent un indice ORAC (capacité d’interception et d’absorption des radicaux libres) élevé. Ils exercent une activité et une protection toute particulière au niveau cérébral. Les anthocyanes régulent notamment la signalisation neuronale. Les études réalisées à l’université de technologie du Shandong montrent que les anthocyanes protègent les structures internes fragiles de la cellule cérébrale (perméabilité de la mitochondrie, noyau) agressés par divers polluants et générant beaucoup de stress oxydatif.

Les polluants diminuent deux composants internes fondamentaux pour les cellules : le GSH (glutathion) et l’ATP (Adenosine Triphosphate)

Le GSH représente le système de détoxification propre à chaque cellule.

L’ATP représente les ressources et le carburant à libération immédiate. Véritable pile énergétique de la cellule.

Les anthocyanes protègent ces deux composants et permettent leurs régénérations intra cellulaires.

Université de technologie du Shandong. Environmental Pollution. 2019

 

 

 

 

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