Le cerveau est composé à 60% de graisses. Les Oméga 3 sont constitués de...
VITAMINE C LIPOSOMALE ABSORPTION ET ASSIMILATION MAXIMALE La version...
Publié le : 12/12/2019 12:16:37
La période des fêtes de fin d’année est synonyme de festivités et repas copieux. Ils peuvent néanmoins constituer un véritable stress pour l'organisme. Ils sont trop riches en calories vides, surchargés en mauvaises graisses (acides gras trans), boissons alcoolisées, sucres rapides et pauvres en éléments nutritifs et bâtisseurs.
Il ne s'agit pas de se priver de certains aliments mais de limiter fortement l'impact qu’ils peuvent avoir sur l'organisme et d’éviter entre autres maux de tête et nausées. En effet, les repas vont principalement surcharger le foie, la vésicule biliaire, l'intestin et le colon. On vous donne les clés pour des fêtes de fin d'années sous le signe de la légèreté.
Le foie se situe en toute première ligne, son rôle étant de recevoir, trier, nettoyer et décomposer les toxines des aliments, tout particulièrement lorsqu'ils ne sont pas consommés habituellement. Il agit comme un filtre. Le Desmodium et la Silymarine sont des plantes de référence pour renforcer considérablement le foie lors de surcharges alimentaires. Le Desmodium et la Silymarine activent les 3 grandes phases de détoxification par lesquelles le foie se saisit d'un toxique pour le transformer en molécule inoffensive pour l'organisme.
Les 3 phases utilisées par le foie se succèdent afin de :
Le vin et les alcools sont agressifs pour le corps et tout particulièrement pour le foie. Le vin renferme des quantités non négligeables de molécules potentiellement toxiques. Il est néfaste pour les cellules du foie car il concentre beaucoup de sulfites, composants particulièrement allergisants.
Le Chrysanthellum est une plante majeure pour l'accompagnement du foie en cette période de l'année et du corps dans sa globalité. Il a montré sa capacité chez les buveurs de vin et d'alcool à éliminer beaucoup plus facilement les concentrations d'éthanol perceptibles dans les tissus, le cerveau et le sang. Le vin entraine l'élimination des réserves de glutathion (puissant protecteur des cellules). Le vin contient une molécule toxique nommée acétaldéhyde. Celle-ci est hautement réactive et agresse les protéines, lipides et acides nucléiques des cellules de tout l'organisme. Elle prépare également le terrain pour l'apparition du Candida Albicans, fréquemment rencontré chez les femmes. Le vin génère migraines, asthme, choc anaphylactique. Les sulfites qu’il contient sont toxiques pour les neurones entraînant à minima des sensations nommées « brain fog ». Ils engendrent la production d'acides aminés aux noms évocateurs : la putrescine, la cadaverine. Ils augmentent également la production de médiateurs fortement allergisants : l'histamine, la tyramine (migraines) ou excitateurs (methylethylamine).
Université Publique de Navana. Pampelune. Espagne. 2016
Le choix des aliments se doit d'être pertinent durant les fêtes de fin d’année.
Le saumon est intoxiqué par de nombreux toxiques comme la dioxine, les PBC, les métaux lourds, et l'ethoxyquine mais également par des poux. Il existe des différences entre le saumon sauvage et le saumon d'élevage. Ce dernier est plus gras que le saumon sauvage car sa nourriture « artificielle » donnée par l'homme est généralement constituée d'huile animale et de petits poissons. Afin d’éviter la raréfaction des ressources de poissons, il a été décidé de remplacer les petits poissons par des graisses végétales (soja notamment).
Les études scientifiques montrent une diminution favorable de toxiques comme les PCB et le DDT de plus de 50% dans les tissus adipeux mais une diminution des taux d'Oméga 3 (protecteurs) et une augmentation des taux d'Oméga 6 mais on remarque :
Département de Biologie. Université de Copenhague. Danemark. 2013
Institut d'Aquaculture. Université de Stirling. Royaume Uni. 2008
Les huîtres concentrent beaucoup de métaux lourds notamment le cadmium mais également du mercure, de l’arsenic, du chrome, du cuivre, du nickel et du plomb. Une étude scientifique a été réalisée sur trois espèces d'huîtres dans les marais salants du nord médoc dans l'estuaire de la Gironde. Les résultats montrent une accumulation de cadmium, de zinc et de cuivre. La concentration se révèle être largement supérieure aux normes recommandés (5 000 ng/g) pour la consommation humaine par la communauté européenne de 2002.
Laboratoire d'écophysiologie et d'écotoxicologie des systèmes aquatiques. Université de Bordeaux 1, Arcachon. 2005.
La bile est absolument fondamentale notamment pour digérer les graisses. Elle permet d'humidifier et d'accompagner le bol alimentaire sans résistance tout au long de l'intestin. La bile permet l'évacuation des toxines préalablement décomposées et inactivées par le foie. La bile est un véritable antiseptique, elle stérilise le bol alimentaire et l'intestin.
Le Silymarine stimule la décomposition et l'élimination des éléments et aliments en « stagnation » grâce à sa capacité à fabriquer le glutathion. Celui-ci est une molécule naturelle fabriquée par le foie. C'est un puissant détoxifiant de la cellule hépatique, des toxines et aliments incomplètement décomposés.
Le bol alimentaire subit tout au long de son « voyage » dans le système digestif, l'assaut de sécrétions de différents organes afin de décomposer des aliments entiers en molécules uniques et ainsi faire sien le contenu du bol alimentaire.
Chaque aliment contient, en général, des protéines, des glucides, des lipides. Les années de mal bouffe obligent le pancréas à libérer des quantités importantes d'enzymes afin de décomposer des aliments richeS en calories vides et pauvres en nutriments essentiels en composants possiblement assimilables par les tissus. Il se produit un véritable épuisement des réserves enzymatiques afin de décomposer les 3 grandes catégories d'aliments.
Le pancréas contient 3 grands types d'enzymes :
Le Digezymes contient ces 3 grands types d'enzymes. Il apporte une aide importante afin de prendre en charge et de prédigérer les aliments que l'on retrouve aux repas de Noël et du nouvel An . Il évite les ballonnements, fermentations, putréfaction du bol alimentaire.
L'intestin, véritable écosystème, représente l'interface digestive du cerveau. Il est composé d'une flore endogène riche de milliards de bonnes bactéries. Celles-ci sont indispensables notamment à la décomposition finale du bol alimentaire, de toxiques issus de l'alimentation. L'intestin est un véritable second cerveau. Sa surface totale représente l'équivalent de deux terrains de tennis. Les repas trop riches et l'alimentation dévitalisée conduisent à une acidification, fermentation puis putréfaction. Le Shilajit, roche issue des hauts versants de l’Himalaya est le produit de référence pour stimuler la flore intestinale endogène.